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Ruines d'Olympie, de Aurelio González Ovies. Traducción de Jean Dif


Olympie. L'aube. Déjà
le printemps.
Lente, la lumière du jour oint son corps

d'une huile très tiède,
comme une jeune déesse
éprise d'un athlète mortel.

Ce peu de choses que je vois:
un olivier, la rosée sur le marbre
et l'aspect humain de la terre
c'est la vie.

(C) Aurelio González Ovies
Traduction: Jean Dif
http://jean.dif.free.fr/
Voix: María García Esperón
Musique: Tracce. L. Einaudi
MMX
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